Projet contribuant à la déforestation, très énergivore. Ne change rien au modèle économique : + vols aériens = + projets de décarbonation + EPR pour l’énergie, etc., etc.

Projet auquel j’adhère positivement. Je le trouve très intéressant à tous points de vue : innovation & carburation de l’aviation

Ce projet semble définitivement ficelé Nous n’avons pas eu de réponse à nos questions sur votre site. Celui-ci nous indique encore que vous y répondez ultérieurement Ce projet titanesque est une aberration Nous n’y voyons aucun intérêt pour une exploitation qui va durer 20 ans pour des nuisances sur cette période 100 emplois directs uniquement créés ( c’est bien un peu alors que d’autres secteurs pourraient en créer tout autant, sans toutes ces retombées néfastes) et un site à dépolluer après utilisation ce dont nous doutons sur la faisabilité par l’industriel lui-même, en bout de process : NOUS NE VOULONS PAS DE CE PROJET RESTART MAIS TOUTES LES VOIX SERONT-ELLES ENTENDUES? OÙ SERA -CE ENCORE L’IMMÉDIATETÉ ET LE PROFIT QUI SE FERA EN NOTRE DÉFAVEUR.? NON À RESTART DÉFINITIVEMENT

Avis neutre. A priori une bonne nouvelle pour le pays tarusate avec ces fumées toxiques qui retombent et qui sont de moins en moins supportées par la population. Les retirer du paysage serait une très bonne nouvelle puisque RYAM n’y parvient pas. Mais une utilisation catastrophique d’autant d’électricité alors qu’il y a bien mieux à faire ailleurs. Si on parle d’écologie et qu’on dézoome ne serait-ce qu’au niveau national, ce style d’installation industrielle est une aberration. 

Nous habitons sur TARTAS près de l’église, et malgré tout ce qui a été dit concernant les pollution sonores, olfactives etc. avec le nouveau projet, cela sera pire. quid du pompage de l’eau. Du stockage des solos, des produits chimiques, de l’hydrogène etc. que des réponses évasives et standards données éventuellement des réponses du style en cours de réflexion, nous vous répondrons ultérieurement (!!) en fait nous n’avons aucune étude chiffrée concernant toutes les nuisances que de la vente marketing et commerciale. Beaucoup de verbiages Ce projet va l’encontre de tous les problématiques de justice sociale, de moins de consommation aérienne prônée on nous demande de trier nos déchets, de faire du compostage, de ne pas arroser nos jardins, etc. alors qu’il va t’être ardemment pompé dans un bien commun qu’’’est l’eau de notre région comme le maïs en plein été n’était déjà pas une aberration tout ça pour faire du méthanol. Maintenant nous allons faire du e saf pour continuer à porter l’industrie de l’aviation pendant encore quelques années. Que se passera-t-il dans 20 ans après la fin du projet ? Cette industrialisation massive est scandaleuse et on nous met devant le fait accompli RESTART NON NOUS N’EN VOULONS PAS 

Mesdames les Enquêtrices, En 2024, le trafic aérien mondial a dépassé les 4,8 milliards de passagers et devrait encore largement progresser d’ici les 10 prochaines années. Ce secteur du transport aérien -client d’un segment important de l’industrie landaise- se trouve face à un défi inédit : assurer sa transition énergétique pour atteindre la neutralité carbone à l’horizon 2050. Pour y parvenir, le Groupe Intergouvernemental d’Experts sur l’Evolution du Climat a avancé notamment deux leviers d’actions : la baisse de l’intensité carbone de l’énergie consommée et l’amélioration de l’efficacité énergétique. Le projet innovant et ambitieux de création d’une unité de capture de CO2 de production de carburant d’aviation durable à Tartas et Bégaar vise à contribuer à la mise en œuvre du premier levier. Ce projet ReSTart (Renewable e-SAF Tartas) s’inscrit pleinement dans la stratégie de décarbonation tant régionale que nationale, à l’instar d’ailleurs de trois autres projets très similaires en France. Porté par VERSO Energy, RTE et RYAM, ReSTart propose une solution efficiente : remplacer le carburant polluant existant par un carburant d’aviation durable produit en France, à Tartas et Bégaar. Ce carburant dénommé e-SAF (Sustainable Aviation Fuel) a la même composition que le kérosène classique mais son utilisation n’a pas d’impact climatique grâce à sa méthode de production. Développé en synergie avec des industriels landais, le projet constitue par ailleurs une opportunité pour ces derniers de réduire leur empreinte carbone ou de pérenniser leur activité, tout en offrant de nouvelles perspectives de développement et d’innovations au territoire. Plusieurs arguments militent en faveur de ce projet. • Le montant d’investissement est aujourd’hui estimé à près de 1,5 milliard d’euros, incluant les dépenses de génie civil et d’équipements industriels ainsi que les coûts afférents au raccordement électrique. • Des synergies avec l’unité landaise de RYAM -leader mondial des produits cellulosiques durables et de grande pureté destinée au segment de marche des éthers- sont largement envisagées comme l’utilisation de l’eau de RYAM, le recyclage et la mise en commun de la chaleur produite par les procédés, ainsi que selon l’option choisie, la mise en commun de la station d’épuration. Le gisement annuel de CO2 biogénique de RYAM pour le projet ReSTart, aujourd’hui non valorisé, est estimé à environ 350 000 tonnes. Le procédé de capture permettrait de récupérer et recycler 95 % de celui-ci, soit 334 000 tonnes de CO2 par an, afin qu’il soit expédié vers le site de production de e-SAF. Parmi ses récents projets, elle développe une unité de bioéthanol de seconde génération, ayant été mise en service fin 2024, qui valorise les hémicelluloses du bois pour produire des biocarburants avec une empreinte carbone réduite de 90 % par rapport aux carburants fossiles. • Durant la phase d’exploitation, à partir de 2030, la création d’emplois directs est estimée à 100 emplois, de niveau ingénieur. Le dossier précise justement que « la mise en place de cette filière de carburant durable basée sur des technologies de pointe permettra à la Région Nouvelle Aquitaine et à la France de se positionner comme un leader dans ce domaine émergent ». De la même manière, ReSTart serait susceptible de conférer aux Landes un rôle majeur- voir de leader dans les énergies décarbonées. En effet, cet investissement est couplé à d’autres projets autour de l’hydrogène actuellement à l’étude dans les environs de Dax. De même, ce process innovant contribuera à renforcer la compétitivité de l’industrie et à développer un savoir-faire technologique exportable. Aussi, dans le cadre de la concertation préalable – procédure organisée en amont d’un projet susceptible d’avoir un impact sur l’environnement, le cadre de vie ou l’activité économique d’un territoire- la Chambre de Commerce et d’Industrie des Landes souhaite-t-elle émettre un avis favorable pour la poursuite de ce projet ReSTart. Nous vous prions de bien vouloir agréer, Mesdames les Enquêtrices, l’expression de nos cordiales salutations. Le Président François LAFITTE 

Comment ne pas réagir quand-on annonce sans vergogne que “la majorité des personnes disent y être opposé” c’est peut- être allez un peu vite en besogne: En effet sur une population concernée de prés de 18000 habitants la plus importante participation fut de 150 pers/environ et les opposants représenter environ 5% des présents, mais 90% de prise de par de parole. Des allégations sans preuves comme les ressources bois, faire l’éloge de l’électricité propre au détriment de nos forêts, et surtout défendre “son bout de gras” plus values immobilière…Quelles crédibilité accordé pour avoir lu dans un cahier d’acteur que “La Suisse, le Danemark, USA, Suède et la Norvège été des pays bolchéviques: Lénine à dû se retourner dans son mausolée…Le ridicule ne tue pas….Le dogmatisme, l’opinion submerge la connaissance dont le savoir la culture. Quand la majorité silencieuse et respectueuse s’éveilleras l’on sauras de quel bois elle se chauffe..Le Pays Tarusate oui il fais bon vivre car nous avons la culture du travail, des loisirs: Chasse, Pèche, Tauromachie ,Gastronomie, des champs producteurs, la forêt, la culture de l’accueil des apatrides…,oui nous sommes en 2025 et nos descendants hériterons de toutes nos infrastructure leurs permettant de vivre et travailler au Pays, n’en déplaise au contemplateurs, courage et soutient aux acteurs de la vies aux camarades de l’usine Ryam 

Pourquoi utiliser autant d’énergie avec un rendement aussi faible alors que toute l’électricité consommée pourrait être bien plus utile ailleurs? Pas exemple des PAC réversibles avec des rendements de près de 400% sachant que l’un des plus grands défis devant nous sera les canicules l’été avec un grand besoin de fraicheur dans les habitations. On parle souvent de souveraineté énergétique, il n’y a pas photo entre faire du e-kérosène ou installer et financer des PAC. Bref, pauvre planète si le choix est de faire voler des avions… 

Lors de la réunion du 10 juin, beaucoup de questions, déjà exposées dans les contributions antérieures sont restées sans réponse, notamment les nuisances sonores, le classement seveso, le rejet olfactif. Nous invitons tous les contributeurs à regarder le reportage « le maire et la multinationale. » diffusé sur les chaînes publiques où l’on voit clairement les industriels faire du Greenwashing, et malgré les avis, défavorables des populations de ne pas en tenir compte et de mener à bien leur projet, en continuant à polluer, à pomper l’eau en période de sécheresse de plus en plus importante et à émettre des fumées, de solvant, de produits etc. dont on ne connaît absolument pas ni le contenu ni les risques sanitaires. Ce projet est une aberration. Quant au secteur immobilier, il nous est dit que le prix a augmenté en référence à une étude en Bretagne, ce que ne dis pas cette étude, c’est que celle-ci a été faite en post COVID où tous les prix immobilier avaient fortement augmenté. Pour ce qui concerne TARTAS, il n’y a qu’à regarder sur les sites immobiliers, les biens immobiliers, pas uniquement aux alentours du site, mais même sur TARTAS ville haute ont chuté de + de 70 000 €. En l’espace de six mois ! Quant aux cadres dirigeants des entreprises ainsi que des élus qui nous vantent les mérites et la création d’emploi, de reindustrialisation, etc. des territoires nous espérons qu’ils viendront habiter sur le site où qu’ils y habitent déjà… Ce projet titanesque tant dans ces mesures au sol, que, dans ses consommations est aux antipodes de la sobriété : révoltant tout simplement ! NON À RESTART 

Nous sommes retraités, l’extension de l’usine et le projet ne nous convient absolument pas, et ce pour les raisons évoquées par plusieurs contributeurs à savoir nuisance olfactive, pompage des eaux, rejet de produits chimiques et stockage Non, nous ne voulons pas de ce brevet, nous avons assisté aux différentes interventions où l’on se rend bien compte qu’il n’est absolument pas tenu compte de la population locale. Il ne s’agit pas d’un progrès de carbonation de l’économie. Mais de continuer à utiliser l’aviation plutôt avec une autre ressource, car un cycle vertueux de sobriété. Nous disons non au projet Restart et nous ne remercions pas nos élus locaux qui ne défendent pas les intérêts de leur population ainsi que leurs biens vivre pour les générations futures NON À RESTART 

Ce projet est au cœur de beaucoup de discussions, et la majorité des personnes concernées disent y être opposées car, la qualité de vie déjà très affectée par le bruit et les fumées, s’est fortement dégradée depuis quelques temps à cause de nuisances olfactives nouvelles, insupportables par moments, provenant des usines existantes qui confrontent quasiment les panneaux d’entrée en agglomération. Le DICRIM de Tartas et le site Géorisques énumèrent les risques actuels, technologiques, SEVESO, transports de matières dangereuses, nuisances sonores, etc…. Récemment, trois tours de refroidissement ont pris feu (25/05/2022), et une quarantaine de pompiers sont intervenus pour des malaises chez des employés (21/02/2025). Les habitants, prennent de plus en plus conscience de ne plus maîtriser leur environnement et leur avenir en matière de salubrité publique et de sécurité, et le projet ReSTart porte une atteinte supplémentaire à notre bien-être et à notre sécurité en raison d’une aggravation des risques majeurs d’incendies, d’explosions, et de nuisances diverses (pollution cours d’eau, air, sols,…)., ce qui n’est plus acceptable.

En matière de retombées économiques, pensez-vous vraiment que les futurs salariés feront de Tartas leur lieu de vie, et fréquenteront les commerces locaux qui, après une période initiale d’euphorie, pourraient voir leur chiffre d’affaires en pâtir durablement ?. La seule certitude est une nouvelle dévalorisation immédiate et irrémédiable du patrimoine immobilier. Les habitants historiques l’ont vécu et en gardent un souvenir amer, notre village ayant déjà été distingué par le passé dans une certaine presse nationale, comme étant un des endroits les plus pollués et risqués de France (triangle chimique Tartas – Rion – Lesgor). Nous sommes toujours discriminés par des réflexions du genre: << Vous habitez TARTAS, ah oui là où ça pue !».

Ce projet, impactant directement nos conditions de vie sur notre territoire, serait-il déjà entériné, nous serait-il imposé, ainsi que ses futures extensions et évolutions, au nom de « l’intérêt général », ou bien nos doléances arriveront-elles à être écoutées et entendues ?. A défaut, nos descendants pourraient nous reprocher de n’avoir pas su nous y opposer collectivement, en temps utile et avec détermination, car, s’il peut s’avérer être globalement utile, il est une perte de chance certaine immédiate et durable pour les résidents actuels de Tartas et des environs. Il se pourrait bien que la recherche de la rentabilité à tout prix soit favorisée, au détriment de l’environnement, de la santé, de la sécurité et du bien être des habitants (préjudices psychologiques dus au stress permanent provoqué par les risques potentiels supplémentaires). Il est aussi à craindre que, la ressource bois n’étant pas durablement garantie (tempêtes, incendies, nématodes…), une autre, encore plus incommodante, pourrait venir s’y substituer partiellement ou totalement (ex: brûlage de déchets). Pensons également aux incidences possibles sur les PAPI/PPRI. Sans compter que cette nouvelle usine, de par sa situation et sa nouvelle production de carburant d’aviation e-SAF, pourrait devenir une cible, en cas de terrorisme ou de guerre. La ville de Tartas est placée sous les vents dominants par rapport à cette implantation industrielle, nous serons directement et durablement concernés par ces risques et nuisances supplémentaires dont la liste est loin d’être exhaustive. Quelle serait alors l’efficacité réelle du plan d’évacuation urgente des habitants en cas d’accident majeur?.

Nous souhaitons l’annulation de ce projet anxiogène dont l’implantation est prévue à proximité immédiate de nos lieux de vie (zones résidentielles, plaine des sports, centre équestre, étang de pêche, parcours de santé, zone commerciale de Bégaar, restaurants, commerces de bouche, élevage de vaches laitières, etc…). Nous désirons décider par nous même de ce qui est bon pour notre avenir et celui de nos enfants, surtout en matière de santé publique, de sécurité et de qualité de vie. 

Permettez moi tous d’abords de m’associer au remerciement fais à la CNDP qui ont contribuer aux échanges alors que ce type de concertation est mise à mal par nos concitoyens même qui déplore “trop de normes, paperasses et j’en passe…”Je suis tout de même sidérer lors des différentes rencontre par la posture chevaleresques de certains qui mobilise la parole pour faire admettre leurs idéologie et d’autres dont l’intérêt personnel passe avant l’intérêt général. Mais les paroles passe les écrits reste: En effet comment de pas être offusquer quand-on fait l’apologie du Télé Travail et Visio conférence au prétexte de moins de déplacement, efficacité, coût environnementaux, financier abaisser, outre la non asociabilité on pourrais sans ci-méprendre que c’est le CNPF qui à écrit ce pamphlet. Les anciens ouvriers de la “calaisiene”ou cellulose du pin été des écologistes agissants: ils ont construit leurs habitation au pied de leur travail: ainsi le hangar été emplie de vélos, solex ,mobylette dont gain de temps ,plus de sommeil moins de danger. Hors lors des différentes tables rondes ce sont des véhicule mue par des carburant fossiles pour transporté 70/80Ks… D’autres parts on n’est pas à une contradiction prés qu’en t’on plaide pour une compagnie Low-cost qui quitterez 10 à 22 aéroports en cause 4€41 de plus par billets soit 3 baguettes de pain … Quand-à l’immobilier essentiellement d’ancienne maison “castor” d’ouvriers, dont la plupart été acquise pour leurs prix très attractif “Une maison pour le prix d’une “cage” à lapin sur la cote…De plus la question est posé depuis une décennie le prix de l’immobilier à exploser et ce par l’acquisition: que j’appellerez une migration Nord/Sud.. Alors tirons nous une balle dans le pied en exhortant les nuisance, danger…Mais peut- être sera-t-il une aubaine pour les futurs travailleurs primo accédant Tout d’abords “balaie ions devant notre porte “Quand -on choisie d’habiter Rion/de Landes ont choisi Seveso seuil Haut, Et qu’on habite Mont de Marsan le kérosène on en respire tout les jours. J’ai 40ans de “calaisienne, ma mère nourricière “72 ans d’exitance au pied de l’usine qui a permis l’intégration d’un monde rural et réfugiés dont la fraternité agissante.. Pouvant ainsi m’exprimer je ferez mienne “Seul un esprit éduqué peut comprendre une pensée différente de la sienne sans devoir l’accepter” Vous aurez donc tout compris j’écoute, je m’enrichie de toutes les thèse ,seul l’intérêt général me guide au service de l’humain faisant ainsi confiance à la science, au porteurs de projet sans pieds ni main liées Alors pour cette réalisation vertueuse qui nous es proposer oui 

J’interviens en tant qu’ancien secrétaire CGT du CE de la Papète employé au laboratoire et ayant activement participé à la mise en place de la lagune dans les années 1975/78 avec l’analyse de l’efficacité de plusieurs marques d’aérateurs pour choisir les plus performants. Les opposants au projet font tous au départ référence aux derniers incidents liés au disfonctionnement de la lagune ayant entraîné de fortes nuisances. La responsabilité en incombe à des « apprentis sorciers » de l’usine qui ont laissé un nombre important d’aérateurs sur la dite lagune à l’arrêt et sur l’installation de nouveaux aérateurs en s’appuyant sur des notices sans aucun contrôle de leur efficacité, accompagné d’autres initiatives malheureuses. Pour les opposants au projet je peux parler de mon expérience : – les rejets de l’usine consommant l’oxygène dissous dans les rivières, avant la grande lagune, on stockait ces produits l’été qu’on libérait à petite dose durant l’hiver. – Dès mon embauche en 1973, j’allais tous les étés contrôler l’oxygène dissous dans la Midouze et l’Adour en amont et aval de Dax. On adoptait la production en fonction du taux trouvé pour éviter une « asphyxie » des poissons par manque d’oxygène. – Avec les investissements pour réduire notre « pollution » et avec des aides financières, après les années 2000, ces contrôles, petit à petit n’ont plus été nécessaires car l’usine a fortement réduit sur cet aspect son impact environnemental. En conclusion, globalement, les progrès de la recherche, les investissements permettent d’améliorer la situation. Malheureusement il y a souvent quelques irresponsables qui font des expériences douloureuses. 

Pour le projet ReSTart

Projet d’utilité publique. L’industrie Française a été démantelée depuis des dizaines d’années. Un projet industriel qui s’inscrit dans le développement durable doit être accueilli à bras ouverts . Vive la création d’emploi !

Félicitations pour ce projet qui permet à la ville de Tartas d’assurer une image tournée vers une industrie verte et innovante ! C’est une magnifique opportunité pour les jeunes générations et nous en sommes très enthousiastes !

Après avoir assisté à tous les évènements organisés dans le cadre de cette concertation préalable, je peux dire que je suis contre ce projet. Alors pourquoi ? Au regard des points problématiques de ce projet admis par tout le monde,

• la consommations électrique énorme

• la consommation d’eau importante

• la dangerosité des productions dans un milieu urbanisé

• l’emprise sur des terres naturelles et agricoles

L’ apport pour le territoire reste pour l’instant flou et limité comme le nombre d’emplois directs. Et pour l’avenir de nos enfants, petits enfants, la finalité est déraisonnable voir mensongère. Je préfère revenir sur la finalité de la production E-SAV qui a pour but de décarboner l’aviation. Dès le début de votre fascicule page 2, vous rappelez qu’ « En 2024, le trafic aérien mondial a dépassé les 4,8 milliards de passagers et devrait doubler d’ici vingt ans selon les prévisions de l’Association Internationale du Transport Aérien. Les émissions de gaz à effet de serre (GES)* de l’aviation sont en croissance depuis 30 ans malgré l’amélioration significative des performances technologiques. » La finalité est donc de décarboner le transport aérien en incorporant le SAV (comprenant l’e-sav) au carburant fossile – 30 % de SAV en 2030 et 70 % en 2050. Si on utilise du SAV incorporé à du carburant fossile tout en doublant le trafic aérien, cela veut dire qu’au mieux on utilisera la même quantité de carburant fossile. Par conséquent, il n’y aura pas de remplacement « d’un carburant polluant par un carburant d’aviation durable » (réf . page 2) mais une accumulation de différents carburants, fossile et SAV. Mais toujours pas de décarbonation. Alors pourquoi de tels projets fleurissent en France et en Europe sans aucun plan pour baisser significativement le trafic aérien, seul moyen efficace pour décarboner. (rf aux documents de l’Adème et de Carbone 14 que vous nous avez proposés de lire sur votre plateforme).

Je souhaiterais poser également une question à nos représentant-es qui semblent favorables à ce projet :  ne pourrait-on pas penser des activités économiques dans le Pays Tarusate et ailleurs répondant aux vrais besoins et aux enjeux vitaux des années à venir ? Je fais le pari que des citoyen-nes ont des propositions, des pratiques, des projets, des expériences, des idées qu’ils pourraient mettre en valeur lors d’un concertation citoyenne et locale. 

Ce projet me semble cohérent et son intagration dans le paysage industriel Tarusate est la bienvenue. Je suis favorbale à ce projet, espérons qu’il verra le jour dans les années qui viennent.

Le projet est coherent, penser à bien insonorisé les entrepots à la construction si celle-ci à lieu. 

Projet allant dans le bon sens pour préserver, l’eau l’air et l’énergie

Le problème de l’eau (qui ne fera qu’augmenter dans le temps) est insuffisamment évalué et traité. On a 80 m³ en fonctionnement ? Traitement des eaux : mesures possibles = étude. Tout cela n’engage pas à grand-chose… Sans parler des risques pour les eaux souterraines.

Nous nous opposons à la concrétisation de ce projet. RYAM est déjà envahissante. L’usine crée déjà des nuisances visuelles sonores et olfactives. Donc non au projet ReSTart.

Sur papier cela semble très bien. Projet très intéressant. Inquiétude quand je lis la 4ème ligne du tableau concernant l’eau souterraine et les rejets atmosphériques.

Durant plusieurs mois, nous avons subit une odeur nausébonde et très irritante. Une pétition est toujours en cours et différents organismes de contrôle (dreal…) snt sollicités. Malgré les 15km me séparant de l’usine, je crains que nous subissions cet agrandissement et une dévalorisation de notre bien immobilier. Je ne valide pas cet extension sur une usine plus que vétuste et dont la gestion reste peu fiable vu les derniers événements. 

A ce jour, l’ensemble industriel implanté est déjà dans l’incapicité de contenir ses nuissances : odeurs, poussières de bois, bruit pour les riverains. Je suis donc opposée à la création d’un unité supplémentaire, surtout au vu du type de production et des risques qui y sont associés.

Je ne souhaite pas ce projet sur Tartas qui ne fera que nous polluer davantage et accentuera les mauvaises odeurs. Ce projet est trop près de nos habitations. J’espère qu’il ne verra pas le jour.

Ravi qu’un projet de ce niveau puisse se réaliser à Tartas.

Nous sommes deux retraités et nous avons toujours habité Tartas et pas très loin de l’usine, nous pensons que c’est une bonne chose que ce projet se fasse. Pour tous les jeunes ainsi que pour refaire vivre Tartas car il y a toujours des mécontents même des ouvriers de la Papette qui ont oublié qu’ils ont eu les sous des Tarusates. Courage. 

Né et résident au plus près de notre usine “Ryam” après une carrière de 40 ans, je trouve vertueux et je m’incline devant la science ,la recherche qui permettrait aujourd’hui par recyclage de nouveaux produit en substitution de produit fossile. Vertueux et nourricier permettant à des centaines de familles de travailler et vivre au Pays aux traditions bien ancrée. Ce projet ouvre des lumières, de l’espoir n’en déplaise aux contemplateurs, aux donneurs de leçon, pour qui l’intérêt particulier prime sur l’intérêt général ,Par déni de nos us et coutumes ils veulent nous imposer par idéologie, dogmatisme mais surtout ignorance leurs soi-disant connaissance…Oui la “Papette” permet la vie à nos Landais de vivre et travailler au Pays et l’installations de populations laborieuses…dans un climat de fraternité 

Le porteur ne projet ne répond pas aux questions (2/35 – avec des questions datant du 04 avril, alors que les ateliers se déroulent…). Pourquoi ? par défaut de compétences ? par volonté de faire obstruction au débat ? Le porteur du projet dispose de forts moyens, nous sommes obligés de discuter à l’intérieur d’un cadre contraint, sur la base des ses éléments de langage. Tout ceci rend très difficile l’organisation d’un débat de fond. Ce délai de réponse pénalise la sincérité du peu de débat possible, ce n’est pas normal. 

Je pense que ce projet peut amener une ressource d’emplois non négligeable dans le secteur.

Reste à espérer que les emplois seront en priorité pour les landais.

Document reçu trop tard pour la réunion publique

C’est un excellent projet pour réduire la consommation d’énergies fossiles, la pollution de l’atmosphère par le CO2 et ses effets néfastes sur le climat et la biodiversité.  Et il est bon de localiser des industries dans les campagnes à ajouter aux activités traditionnelles d’agriculture et d’élevage pourvu que les règles de protection de l’environnement soient respectées !

1- Il n’y a pas de réchauffement climatique, le GIEC trompe ! 

2 – L’histoire du CO2 est une arnaque destinée à nous taxer le plus possible. Le CO2 est indispensable à la vie sur Terre. 

STOP aux conneries

Très bon projet. Merci pour la planète et les futures générations.

Bonjour, Dans le Sud Ouest papier du 3 avril 2025, notre Fédération est une nouvelle fois annoncée favorable à votre projet. Notre section landaise se doit de respecter les directives de notre Fédération Aquitaine à savoir soit nous sommes contre et nous expliquons pourquoi soit nous nous ne donnons pas d’avis. Notre rôle en tant qu’association environnementale est de veiller au respect de l’environnement y compris celui des humains et en aucun cas de sponsoriser tel ou tel projet. Nous demandons à Mesdames les garantes de faire en sorte que ce genre de quiproquo ne se reproduise plus. Nous vous remercions. 

Ce projet me parait raisonnable et bon pour tout le monde 

Si c’est bon pour la planète ok

Tant que ce projet respecte les réglementations en vigueur et l’environnement tarusate et surtout, la parole donnée aux populations locales, nous serons en accord avec le développement de ce projet. Cependant, les 800 personnes attendues pour les études (2025-2027) et pour le chantier de 2027 à 2030 devront se loger, se nourrir de manière locale afin de réduire leur impact. Ainsi Verso Energy et ses partenaires, mais aussi Ryam, se doivent de favoriser des offres locales d’hébergement auprès de partenaires locaux tels que nous et d’autres. Il existe déjà des offres locales disponibles tout au long de l’année et qui peuvent s’adapter aux besoins de l’ensemble des personnels de votre entreprise et de vos partenaires. Ces hébergements locaux et authentiques peuvent accueillir ces personnes dans des conditions confortables, adaptées à chacun. Pour nous prendre comme exemple, nous pouvons accueillir dans 3 chambres d’hôtes, 11 personnes en pleine nature à 6 km du site du projet ; de plus, nous faisons table d’hôtes. Des établissements tels que le nôtre peuvent développer également des offres d’hébergement avec des services associés qui s’adapteraient aux besoins du projet. Nous sommes à l’écoute de vos besoins. Un tel projet se doit de s’appuyer sur des offres locales pour sa logistique. Et l’ensemble des hébergeurs et autres entreprises locales d’accueil, d’hébergements et/ou de restauration est présent pour vous accompagner. A votre disposition pour pouvoir en discuter.